22 mars 2012 - Journée mondiale de l'eau








En cette journée mondiale de l'eau, réaffirmons que l'eau, res publica, est un droit de l'homme.

Rappelons que l'eau insalubre est la première cause de mortalité au monde et tue des millions d'êtres humains chaque année, soit quatre enfants de moins de cinq ans par minute.

Appelons à "une révolution bleue" pour un partage plus équitable de l'eau du nord au sud, parce que aujourd'hui il est plus qu'urgent de mettre en place des politiques durables plus soucieuses du bien être de l’humanité que de la rentabilité  des multinationales de l'eau.

Ensemble, réveillons les consciences afin de renverser les perspectives.

YM



Agenda Bruxelles

Exposition Journée mondiale de l'eau
Vitrines Marcel Broodthaers
Galerie du Bailli
Bruxelles


Diffusion de "Histoires d'eau", 
un court-métrage réalisé par Yola Minatchy
A 12h00 Galerie du Bailli le 22 mars





21 mars 2013 - Journée internationale de lutte contre les discriminations raciales






L'Europe dispose d'un magnifique arsenal législatif en matière de discriminations raciales applicable à tous les citoyens européens.


En effet, l’Union européenne lutte de longue date contre les discriminations fondées la race ou l’origine ethnique. 

Le cadre juridique de l’Union européenne en matière de lutte contre les discriminations a été instauré en 2000 et prévoit trois directives sur l’égalité de traitement entre les personnes sans distinction de race ou d’origine ethnique, sur le marché du travail et en dehors de celui-ci. 

Le droit de non discrimination est encore renforcé par la Charte des droits fondamentaux, qui a la même valeur juridique que les traités.

Les institutions et les autorités des États membres et de l’Union sont assistées par l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne dans la mise en œuvre de la législation de l’Union sur la lutte contre les discriminations. 

Enfin, une aide financière est prévue au titre du programme Progress 2007-2013.




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Surveillance de l’égalité et de la non-discrimination raciales




« Le racisme demeure un fléau pour des millions de personnes partout dans le monde... Je vous demande à tous de conjuguer vos efforts avec ceux des Nations Unies pour éliminer le racisme. Nous devons, individuellement et collectivement, éradiquer le racisme, l’opprobre et les préjugés. »
M. Ban Ki-moon, Secrétaire général de l'ONU

Présentation du Comité pour l'élimination de la discrimination raciale


Le Comité pour l'élimination de la discrimination raciale est un organe composé d’experts indépendants qui surveille l’application de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale par les États parties.
Tous les États parties sont tenus de présenter au Comité, à intervalles réguliers, des rapports sur la mise en œuvre des droits consacrés par la Convention. Ils doivent présenter un premier rapport un an après avoir adhéré à la Convention, puis tous les deux ans. Le Comité examine chaque rapport et fait part de ses préoccupations et de ses recommandations à l’État partie sous la forme d’«observations finales»

La Convention porte également création de trois autres mécanismes qui permettent au Comité de s’acquitter de ses fonctions de surveillance: la procédure d’alerte rapide, l’examen de communications adressées par des États et l’examen de communications émanant de particuliers.

Le Comité se réunit à Genève et tient normalement chaque année deux sessions d’une durée de trois semaines.

Le Comité publie aussi son interprétation des dispositions relatives aux droits de l’homme sous la forme de recommandations générales (ou observations générales) concernant des questions thématiques et organise des discussions sur différents thèmes
Pour plus d’informations sur le travail du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale, cliquez ici.





ONU



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Dire NON au racisme!



"Nous pouvons changer le monde 
et en faire un monde meilleur. 
Le changement est entre vos mains!"

- Nelson Mandela




En disant NON au racisme, ces personnes ont contribué à changer le cours de l'histoire.

Nelson Mandela (Afrique du Sud)
Lutter contre l'apartheid

Pendant 67 ans, Nelson Mandela a mis sa vie au service de l'humanité - comme avocats spécialiste des droits de l'homme, prisonnier d'opinion, architecte international de la paix et premier président démocratiquement élu d'une Afrique du Sud libre. Au cours de ses longues années en prison, il a maintenu une foi inébranlable en la justice et l'égalité humaine. À sa libération, il s'est réconcilié avec ceux qui l'ont le plus persécuté. Et il a ouvert la voie vers une Afrique du Sud démocratique et multi-raciale. Il s'est également engagé dans la lutte contre le sida pour lutter contre la stigmatisation.

Dora Alonso (Guatemala)
Proclamer les droits des indigènes

Dora Alonso, qui a dix-huit ans, appartient à la grande communauté indigène des Mayas et fait entendre sa voix contre la discrimination des peuples indigènes, en particulier envers les femmes et les filles. Elle est membre du Parlement des enfants du Guatemala, une organisation nationale de l'enfance et de la jeunesse maya, xinca, garifuna et ladino. Le travail du parlement est concentré sur la santé, l'éducation, l'égalité des sexes, le respect des minorités et la prévention de l'exploitation sexuelle et des violences faites aux enfants. Le parlement veille également à la non-discrimination des individus atteints du VIH/sida. Quant à Dora, elle est responsable du service des communications du parlement, chargé de fournir les informations sur l'organisation et de lancer des campagnes de prévention.

Gay McDougall (États-Unis)
Se servir de la loi pour combattre 
les discriminations raciales et autres

Mme Gay McDougall, avocate des droits de l'homme, ayant un long passé de militante pour les droits civils, est actuellement la première Experte indépendante des Nations Unies sur les questions relatives aux minorités. Ayant grandi à Atlanta, en Géorgie, sous la discrimination raciale, Mme McDougall était exclue de nombreux lieux publics quand elle n'était qu'une enfant. Elle fut la première étudiante noire à être admise à son collège et elle fit face au quotidien à la discrimination et au racisme. Puis elle est devenue la directrice exécutive de l'O.N.G. internationale « Global Rights », basée aux États-Unis, de 1994 à 2006. Parmi les nombreuses fonctions internationales qu'elle a occupées, elle a notamment servi comme experte indépendante à l'organe des Nations Unies créé pour superviser la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale et fut l'un des cinq membres internationaux de la Commission électorale indépendante de l'Afrique du Sud, laquelle organisa avec succès et géra les premières élections indépendantes des races dans ce pays.

Sri Kumar Vishwanathan (Inde/République Tchèque)
Mettre fin au cercle vicieux de la discrimination 
contre les communautés des Rom

Sri Kumar Vishwanathan, originaire de l'Inde, est le défenseur des droits des Rom depuis 14 ans. Il travaille infatigablement à ériger des ponts entre les communautés rom et leurs voisins. Grâce à son initiative, un village de vie en commun a été créé à Ostrava, en République tchèque, où des familles de Rom et d'autres ethnies habitent ensemble et forment une seule communauté intégrée. Il a également établi un dialogue entre les Rom et la police, en lançant un projet dans lequel des femmes rom servent d'assistantes (médiatrices interculturelles) à la police pour aider à mettre fin au cercle vicieux de l'exploitation des familles de Rom par des bandits issus de leur propre communauté. Il est aussi continuellement impliqué dans l'assistance aux familles de Rom victimes d'attaques racistes brutales. Il habite toujours avec sa famille dans l'un des ghettos des Rom les plus opprimés.

Et vous?

Que faites vous pour dire NON au racisme? 

Parlez nous de vos initiatives sur Facebook.


ONU
www.un.org



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La semaine d'actions contre le racisme en Belgique

À FILMS OUVERTS, le Festival 
(qui explore) de la diversité !




Ce Festival proposé par Média Animation est organisé autour de la Journée internationale de l’ONU du 21 mars pour l’élimination de la discrimination raciale.

Une occasion d’aborder en profondeur et de débattre les questions du racisme et de l’interculturalité.


Une démarche originale : décentralisation et sens critique

Un Festival de cinéma décentralisé dans 23 communes de Wallonie et de Bruxelles n’est pas chose courante… Celui-ci se déroulera à travers toute la Communauté française dans des ciné-clubs, des associations ou des centres culturels.

Ce pari, Média Animation le réussit grâce à une mobilisation de divers partenaires culturels et associatifs.

Ensemble, ils proposeront une programmation large et variée, à l’image de leur objectif : explorer la diversité…

Avec 21 films à l’affiche, ce Festival présentera plusieurs approches abordant la question du racisme et de l’interculturalité. 


Les longs métrages proposés sont militants, provocateurs, étranges, caricaturaux... Ils soulignent notre différence avec l’Autre.

Au delà des projections, À FILMS OUVERTS, proposera aussi diverses rencontres avec des réalisateurs, des débats et des animations.

Un Festival ouverts à tous. 
L’invité d’honneur ? Le sens critique du public 


Lieu: 

En Wallonie et à Bruxelles

Du 10 au 20 mars 2011, près d’une quarantaine d’activités sont programmées dans le cadre du Festival « À FILMS OUVERTS ».


Voir programme complet sur www.afilmsouverts.be
















20 mars 2013 - Journée internationale de la Francophonie





Le terme francophonie est né de la plume d’un géographe français, Onésime Reclus (1837-1916). Ce vocable ne désignait alors que l’ensemble de la population s’exprimant en langue française.

Aujourd’hui, la francophonie a évolué, et a perdu sa connotation coloniale d’antan : la francophonie plaide désormais pour que la communauté francophone se structure et s’organise afin de défendre les valeurs culturelles, humanistes, linguistiques, juridiques dans le processus d’édification du système international.

La francophonie permet d’assumer les histoires et les identités, mais aussi de servir le dialogue, la paix, la construction juridique dans un contexte de la mondialisation.

Ce combat est certes mené sous l’égide de la langue française, parlé par 200 millions de personnes dans le monde, mais dans un esprit de partage, d’ouverture, de réflexion commune.

Le 20 mars marque comme chaque année la célébration de la Journée internationale de la Francophonie. 
L’occasion pour l'ensemble des francophones de fêter non seulement leur bien commun, la langue française, mais aussi d’exprimer leur solidarité et leur désir de vivre ensemble au travers de centaines d’événements organisés dans le monde entier.

Belle fête du 20 mars à tous!

YM



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Le message de Abdou Diouf,
secrétaire général de la francophonie



"Qu’adviendrait-il de la Francophonie si nous devions laisser s’effacer le trait d’union linguistique qui nous relie ? Qu’adviendrait-il de notre communauté si la Francophonie devait recourir, au mieux, à la traduction, au pire, au seul usage de l’anglais, lors de ses interventions, de ses réunions, de ses concertations, à l’instar de la pratique de la langue unique qui s’est largement répandue dans les organisations internationales et régionales ?


Nombre de nos programmes et de nos actions de coopération n’auraient plus raison d’être, et nous perdrions, surtout, ce lien originel et cette connivence naturelle qui font que l’entraide et la solidarité, entre nous, ne s’apparentent pas à de la générosité, mais à de la fraternité. Une fraternité qui a trouvé à s’exprimer, en cette année 2013, de la manière la plus éclatante qui soit, à travers la décision courageuse de l’un de nos membres - la France - de répondre, avec l’appui de plusieurs Etats francophones de la région, à la demande d’aide d’un autre de nos membres - le Mali- dans sa lutte contre le terrorisme, afin que ce pays recouvre au plus vite son intégrité territoriale et que la population retrouve la paix et la sécurité.



C’est également ce lien originel et cette connivence naturelle qui font que nous ne parlons pas seulement la même langue, mais que nous parlons aussi, par-delà nos différences, le même langage : celui des principes et des valeurs, celui de la démocratie et des droits de l’Homme, celui de la diversité culturelle et linguistique, celui de l’équité et de la justice sociale, celui de la régulation et de l’éthique en matière économique et financière.



C’est ce lien originel et cette connivence naturelle qui, en dernier ressort, nous permettent de nous entendre, dans un esprit d’écoute et de respect, sur une vision commune du monde et sur les voies qu’il reviendra, notamment aux jeunes générations, d’emprunter pour construire un « vivre-ensemble » qui réponde aux aspirations de tous. Que cette Journée internationale de la Francophonie soit donc l’occasion de célébrer la langue française, de la chanter dans la convivialité, de la parler en toute complicité, de la déclamer à pleins mots."





Abdou Diouf
OIF



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Evénements du 20 mars 2013




LA NUIT DE LA FRANCOPHONIE




À l’occasion du 20 mars, “Journée internationale de la Francophonie“, le magazine Espace francophone réalise comme chaque année une Nuit de la Francophonie.

Le magazine télévisé de la francophonie a choisi cette année, par un programme de quatre heures, d’aller à la rencontre des créateurs, écrivains, humoristes, chanteurs, cinéastes, dramaturges, artistes de cirque, chorégraphes, de la communauté mondiale des peuples ayant la langue française en partage.

Ce florilège est un véritable tour du monde francophone en une centaine de séquences tournées sur tous les continents. Ce programme spécial sera diffusé par France 3 dans la nuit du 20 au 21 mars, puis par les chaînes de l’outre-mer français, Canal France International, Télé-Bruxelles, ainsi qu’une trentaine de télévisions nationales francophones.


Par ailleurs, la Nuit de la Francophonie pourra être visionnée en boucle à partir du samedi 23 mars à 10h00 sur la chaîne en ligne FRANCOPHONIE24 par ce lien :





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LE FORUM MONDIAL DES FEMMES FRANCOPHONES





Le 20 mars 2013, le premier Forum mondial des femmes francophones se tiendra au musée du Quai Branly à Paris, de 9h à 17h, et se terminera par un discours du Président de la République française au Palais de l’Élysée.



Le Forum mondial des femmes francophones accueillera 400 femmes issues de la société civile, venues du monde entier.

Ces femmes mènent au quotidien des combats pour le respect de leurs droits fondamentaux, l’accès à l’école et à l’éducation, l’égalité des genres, la représentation des femmes dans la sphère politique.








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LA LANGUE FRANCAISE EN FETE EN BELGIQUE




"La langue française en fête" se déroule du samedi 16 au dimanche 24 mars 2013.

Soignies a été désignée comme « Ville des mots ».

Le thème retenu pour la Fédération Wallonie-Bruxelles sera « Les mots s’envoient ». Il est propice à ressortir votre plus belle plume, à dépoussiérer votre lexique des plus belles formules épistolaires et à déployer des trésors d’imagination et de créativité !

La Fédération Wallonie-Bruxelles et le réseau des anciennes villes des mots feront notamment circuler des cartes postales. Emparez-vous d’elles et utilisez-les à votre guise pour y écrire, dessiner, bricoler, imaginer un message, un souhait, un jeu de mots...Pour ce faire, pourquoi ne pas utiliser les 10 mots suivant : Voilà !, Bouquet, Cachet, Coup de foudre, Équipe, Savoir-faire, Unique, Vis-à-vis, Atelier, Protéger ?

"Les mots s’envoient" aussi vers ceux pour lesquels ils sont particulièrement précieux, mais parfois difficiles à maîtriser. Les exilés, les déplacés, les migrants. Aussi, les stratégies d’apprentissages du français seront au coeur d’une réflexion que nous souhaitons collective et participative, à Molenbeek, le 20 mars prochain lors d’un séminaire "Langue et migrants, favoriser l’appropriation du français par des pratiques culturelles". Cette journée d’étude prépare un événement plus large qui prendra place lors de la La langue française en fête, en 2014. Vous pourrez très bientôt vous inscrire à cette journée et découvrir toutes les activités autour de cette thématique dans le programme général.

Plus d’informations sur :

http://www.lalanguefrancaiseenfete.be















Violences faites aux femmes et aux filles





La Francophonie adopte un plan d'action


En marge de la 57e session de la Commission de la Condition de la femme, l’OIF et ONU Femmes ont organisé, le 4 mars 2013 au siège des Nations unies à New York, une concertation francophone de haut-niveau afin d’adopter un plan d’action commun pour prévenir et éliminer les violences faites aux femmes et aux filles dans les pays membres de l’OIF.


Cette concertation a réuni les ministres et les chefs de délégation des pays membres de la Francophonie, ainsi que Mme Michelle Bachelet, directrice exécutive d’ONU Femmes et secrétaire générale adjointe des Nations unies, Mme Fatou Bensouda, procureure de la Cour pénale internationale, et Mme Chantal Compaoré, Première Dame du Burkina Faso et coordinatrice de la campagne internationale pour l’interdiction mondiale des mutilations génitales féminines.


Elle a permis l’adoption d’un « Plan d’action francophone sur les violences faites aux femmes et aux filles » qui intervient dans le cadre de la mise en œuvre des engagements politiques des pays membres de l’Organisation internationale de la Francophonie. Ce plan d’action constitue la contribution de la Francophonie aux travaux de la 57e session de la Commission de la condition de la femme.




Elle fait suite à l’adoption en 2010 d’une « Déclaration francophone sur les violences faites aux femmes », dans le cadre de l’évaluation des quinze années de mise en œuvre de la plateforme d’action de Pékin. Les pays membres de l’OIF avaient ainsi franchi une étape importante dans la promotion des droits des femmes en confirmant leur engagement à promouvoir l’égalité entre les femmes et les hommes et à prévenir toute atteinte à l’intégrité physique et morale des femmes et des filles. Les objectifs de cette déclaration étaient, notamment de sensibiliser sur la problématique des violences faites aux femmes, d’apporter un accompagnement approprié aux victimes et de promouvoir une éducation à la non-violence.


Trois ans plus tard, la Francophonie réaffirme les principes de la Déclaration de 2010 et s’accorde sur les éléments fondamentaux de la mise en œuvre des engagements internationaux, régionaux et nationaux dans le domaine de la lutte contre les violences faites aux femmes. Un tel consensus nécessitera de privilégier l’action et les résultats, par l’échange de bonnes pratiques et de leçons apprises dans les années à venir.

Pour rappel, en mai 2012, ONU Femmes et l’OIF ont signé un Accord-cadre de coopération afin de mettre fin aux violences faites aux femmes et aux filles, d’éliminer toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes dans la loi et en pratique, et de promouvoir la participation et le leadership politique des femmes au sein des pays francophones.

La Concertation francophone de haut niveau sur les violences faites aux femmes et aux filles s’inscrit dans le cadre du mois de la Francophonie à New York.

Organisation Internationale de la Francophonie

Journée internationale de la femme




La violence contre les femmes


« Il y a une vérité universelle, 
applicable à tous les pays, 
cultures et communautés : 
la violence à l’égard des femmes 
n’est jamais acceptable, jamais excusable, 
jamais tolérable. »

M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies




Dans le monde, aujourd'hui :
  • Jusqu'à 50% des agressions sexuelles sont commises sur des filles de moins de 16 ans;
  • 603 millions de femmes au monde vivent dans des pays où la violence domestique n'est pas un crime;
  • Jusque 70% des femmes à travers le monde ont subi des violences physiques et/ou sexuelles au moins une fois au cours de leur vie...


Face à ces chiffres inacceptables, la communauté internationale s'est fermement engagée à changer le sort des femmes.
La Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes (CEDAW) exige que les pays parties à la Convention de prendre toutes les mesures appropriées pour mettre fin à la violence.

Il est temps d'agir

Le thème de cette année, « Une promesse est une promesse : Il est temps d'agir pour mettre fin à la violence contre les femmes », vise à renforcer l'engagement de la communauté internationale à mettre fin à la violence contre les femmes.

Dans le cadre de l'effort que l'ONU mène pour combattre la violence contre les femmes, la campagne du Secrétaire général Ban Ki-moon, TOUS UNiS appelle tous les gouvernements, la société civile, les organisations de femmes, d'hommes, de jeunes, le secteur privé, les médias et l'ensemble du système des Nations Unies d'unir leurs forces dans la lutte contre cette pandémie mondiale.


De la Chine au Costa Rica, du Mali à la Malaisie, des chanteurs et des musiciens connus, tant hommes que femmes, ont uni leurs efforts pour diffuser un message d’unité et de solidarité : Nous sommes « One Woman », une seule femme.

ONU Femmes







Plus d’informations en ligne: 


En Belgique: http://www.cffb.be/

Vidéos en ligne: